Cinéma le Colisée

 


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LES TARIFS

 

-Plein tarif: 6€

-Tarif spécial: 5€

(étudiants, demandeurs d’emploi, handicapés, -18ans, carte cos, carte cezam)

-Abonnement : 55€

(les 10 places valables 1 an)

-Supplément 3D : 2€

(sur tous les tarifs abonnés inclus)

 

Important:Certains films sont susceptibles d’être projetés dans différentes versions (V.O, V.F, 2D, 3D). Soyez donc attentifs aux indications figurants sous l’horaire du film.

Pour plus d’infos vous pouvez nous contacter

– par téléphone : 05.55.69.39.32 ou (port)07.52.04.03.02

– par mail : cinema@briancecombade.fr

– sur la page facebook du cinema dont vous trouverez le lien tout en haut de cette page

Le programme est également disponible dans les bibliothèques intercommunales dans les mairies, à l’Office de Tourisme Briance-Combade, chez les commerçants et au bureau de la Communauté de communes.

 


A partir du mois de juin , vous pourrez vous fournir en confiserie, pop corn et boissons, directement dans votre cinéma.
En raison des tarifs (riches en centimes) et en attendant l’arrivée du paiement par carte, nous demandons a nos clients de prévoir l’appoint (si possible).
pour les boissons, un frigo doit arriver avant l’été

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« Avec le CLAP, découvrez un court avant le long ! »

Régulièrement, le cinéma « Le Colisée » proposera un court métrage avant le long métrage.

Les séances « Un court avant le long » seront signalées sur le programme à l’aide d’un logo.

Cette opération est organisé en partenariat avec l’association CLAP. Le CLAP opère une sélection de court- métrage à contenu divers pour les petits et les grands, de la fiction, de l’animation, des courts documentaires ainsi que des compléments de programme autour d'actualités.

Catalogues des courts-métrages 2020

 

 

                                                                                   

 

Chouchou du mois

 

La Syndicaliste

POUR LA FRANCE 

Un matin, Maureen Kearney est violemment agressée chez elle. Elle travaillait sur un dossier sensible dans le secteur nucléaire français et subissait de violentes pressions politiques. Les enquêteurs ne retrouvent aucune trace des agresseurs… Est-elle victime ou coupable de dénonciation mensongère ?

Un thriller haletant sur un scandale d’état.

La Syndicaliste: Isabelle Huppert, Grégory Gadebois

Dimension intime

Dans un premier temps, Jean-Paul Salomé a rencontré la journaliste Caroline Michel-Aguirre, en lui disant ce qu'il voulait mettre en avant de son livre. Mais, au-delà des faits, des enjeux politiques et industriels propres à cette histoire, le cinéaste voulait savoir ce que Maureen Kearney avait vécu de l'intérieur, ce qu’avaient traversé ses proches et comment elle s’était reconstruite :

"Il me manquait une dimension intime. C’est ce que j’ai expliqué à Maureen Kearney, quand je l’ai rencontrée, accompagnée de son mari et de sa fille. Je lui ai dit que ce serait ma vision d’un personnage, qu’il nous faudrait, avec Fadette Drouard, imaginer des scènes de famille d’après ce que l’on percevait des rapports avec son mari et avec sa fille. Il fallait nous laisser inventer."

"Il y avait des passages dans le livre qui étaient intrigants : par exemple, un soir au cœur de l’affaire, elle part en voiture dans la nuit, on ne sait pas pourquoi, ni ce qu’elle part faire. Une pulsion de suicide ? Le deal était que Maureen lise le scénario : elle l’a validé, tout en précisant que ce n’était pas tout à fait elle par instants, ou qu’elle n’aurait pas forcément réagi comme ça."

"Mais une très grande partie du film est fidèle à ce qui s’est passé : certains dialogues sont exacts au mot près, notamment ce que l’on entend au cours des deux procès", confie le cinéaste.

La Syndicaliste: Yvan Attal

Naissance du projet

C’est un tweet, dans lequel quelqu’un évoquait le livre de la journaliste Caroline Michel-AguirreLa Syndicaliste, qui a aiguillé Jean-Paul Salomé vers ce fait divers survenu fin 2012. Le réalisateur s'est alors renseigné et a senti qu’il y avait la matière d’un film :

"J’avais déjà eu envie de faire un film sur une lanceuse d’alerte, autour d’Irène Frachon et du scandale du Mediator, mais ça ne s’était pas fait. Les pressions qu’avait subies Maureen Kearney, « la » syndicaliste d’Areva, l’agression violente dont elle avait été victime étaient puissamment dramatiques."

"On était allé très loin pour la contraindre à arrêter ses investigations... Le parcours de cette femme, sa mise en accusation, sa rédemption, ses moments de doute ou de dépression dont elle triomphe, c’était déjà un récit de cinéma. Peut-être davantage dans la lignée d’un cinéma politique américain ou italien."

"Il y avait aussi la promesse d’un rôle pour Isabelle Huppert : la sortie de LA DARONNE venait d’être décalée à cause du Covid, mais l’envie de retravailler ensemble était là. J’ai trouvé sur internet des photos de Maureen Kearney et j’ai tout de suite vu la possibilité qu’Isabelle lui ressemble à l’écran."

"Après avoir lu le livre, j’ai appris que le producteur Bertrand Faivre en avait acquis les droits, sans penser à un cinéaste en particulier. Nous nous sommes mis d’accord, et la scénariste Fadette Drouard et moi avons commencé à écrire le scénario", se rappelle le metteur en scène de Belphégor, le fantôme du Louvre.

# Tous Au Cinéma

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